Le Légat Matthieu Duclos se rendit à l'hôtel Kyzzinger, accompagné de trois diplomates nautiens. Il y rencontra quelques représentants officiels du Grand Duché de Zollernberg et, après les salutations d'usage, il prit la parole en ces termes.
"Messieurs,
Je dois d'abord remercier le Grand Duché d'avoir accepté l'invitation de la République de Nautia et de participer à ce congrès. Celui-ci doit être, vous le savez, l'occasion pour les différents membres, de resserrer leurs liens. C'est pourquoi il me semble qu'il serait opportun de renouveler les accords existants entre nos deux pays. La République de Nautia, vous le savez, n'a jamais reconnu l'annexion de fait du Wasserland occidental au détriment de notre ami, le Krassland. Je crois cependant qu'il est peut-être temps d'envisager un règlement global de la situation krasslando-zollernoise. Si un tel rapprochement intervenait au cours de ce Congrès, la République de Nautia serait sans doute disposée à envisager de reconnaître l'accord qui interviendrait. Peut-être même pourrions nous proposer des termes de négociations acceptables par tous ?
Par ailleurs, nous apprécierons grandement de doubler un accord d'amitié zollerno-nautienne, qui, à notre sens, reconnaîtrait la vocation à la neutralité de la RFV de Nautia et l'engagement du Grand Duché de protéger et de respecter cette neutralité, par des accords plus sectoriels, notamment sur la question de la pêche et des transports maritimes. Il nous paraît également utile d'envisager une action commune pour lutter contre les pirates yssois, qui menacent le commerce international."
"Messieurs,
Je dois d'abord remercier le Grand Duché d'avoir accepté l'invitation de la République de Nautia et de participer à ce congrès. Celui-ci doit être, vous le savez, l'occasion pour les différents membres, de resserrer leurs liens. C'est pourquoi il me semble qu'il serait opportun de renouveler les accords existants entre nos deux pays. La République de Nautia, vous le savez, n'a jamais reconnu l'annexion de fait du Wasserland occidental au détriment de notre ami, le Krassland. Je crois cependant qu'il est peut-être temps d'envisager un règlement global de la situation krasslando-zollernoise. Si un tel rapprochement intervenait au cours de ce Congrès, la République de Nautia serait sans doute disposée à envisager de reconnaître l'accord qui interviendrait. Peut-être même pourrions nous proposer des termes de négociations acceptables par tous ?
Par ailleurs, nous apprécierons grandement de doubler un accord d'amitié zollerno-nautienne, qui, à notre sens, reconnaîtrait la vocation à la neutralité de la RFV de Nautia et l'engagement du Grand Duché de protéger et de respecter cette neutralité, par des accords plus sectoriels, notamment sur la question de la pêche et des transports maritimes. Il nous paraît également utile d'envisager une action commune pour lutter contre les pirates yssois, qui menacent le commerce international."